Ibrahim Maalouf

Ibrahim Maalouf est un musicien franco-libanais, trompettiste, compositeur et professeur d’improvisation et de trompette.

Il naît dans une famille d’intellectuels et d’artistes, fils d’un trompettiste et d’une pianiste, petit-fils de journaliste, poète et musicologue.

Sa famille a fuit le Liban en raison de la guerre, et il a grandit en banlieue parisienne.

Il est le seul trompettiste au monde à jouer la musique arabe avec « la trompette à quarts de tons », inventée par son père dans les années 60.

Diplômé du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris et lauréat de grands concours de trompette classique, il est plusieurs fois récompensé par des concours internationaux, de la Victoire de la révélation instrumentale et Artiste de l’année aux Victoires du Jazz.

Il reçoit également le titre de « Jeune artiste œuvrant pour le dialogue interculturel entre les mondes arabe et occidental » par l’UNESCO.

Ibrahim est un trompettiste qui voyage du jazz à la musique classique, de la chanson de variété au rock, de la pop à l’électro, des musiques traditionnelles et contemporaines arabes aux musiques folkloriques et actuelles du monde.

Il a collaboré avec Matthieu Chedid, Vincent Delerm, Lhasa de Sela, Jeanne Cherhal, Arthur H, Sting, Elvis Costello et Marcel Khalifé.

Pour ma part, j’ai pris une grosse claque en écoutant Ibrahim Maalouf lors de sa prestation aux Victoires.

Depuis une semaine, j’écoute en boucle les albums Illusions et Diagnostic, ses partitions instrumentales sont magiques.

Et j’ai un coup de coeur pour cette chanson True Sorry pour laquelle il a reçu le Prix Album de Musiques du Monde aux Victoires de la musique 2014.

Counting Crows

Hé oui les enfants souvenez-vous, les années ’90, vous étiez jeunes, vous étiez beaux, vous étiez … pardon je m’égare, qui se souvient encore de l’année 1994 en pleine période grunge un groupe est arrivé à contre courant de la musique que l’on entendait sur les radios FM de l’époque.

Un groupe qui remettait au gout du jour le bon vieux rock & folk de Bob Dylan pendant que la bande à Kurt Cobain trustait les charts. Et pourtant tout comme Nirvana ils ont eux aussi marqué de leur empreinte cette décennie, je veux bien évidemment parler des Counting Crows.

C’est tout d’abord un groupe issue de Berkeley en Californie, une pléiade de musiciens et de groupes commencent à éclore dans cette ville dont un duo composé d’Adam Duritz et de David Bryson qui se produisent dans les bars de la baie de San Francisco.

Ils recrutent quelques amis de la scène musicale et une alchimie indéniable se crée entre les musiciens avec un ensemble basse / piano / batterie / guitare / mandoline et même un accordéon, un orgue et un harmonica.

Une attention toute particulière est donnée à l’écriture des textes ainsi qu’à son interprétation quand on y ajoute la voix d’Adam Duritz, très habile quand il s’agit de vous donner la chair de poule dès les premiers mots.

Les Counting Crows ne sont pas un groupe bruyant de plus, c’est le domaine du rêve, de la nostalgie et de la pluie permanente.

La musique de ces américains est profondément intime, les singles « Mr Jones » et « Round Here » extraits de l’album « August and Everything After » en sont un superbe témoignage, et ce même s’ils ont été matraqués par toutes les radios à l’époque.

On s’aperçoit très vite que leurs albums ont une âme, avec ses ambiances feutrées et ses histoires d’amour déchirées et il suffit de voir le groupe en live pour se rendre compte qu’Adam Duritz vit les paroles qu’il a écrites, et que ce premier album est une sorte de poignant journal intime, qui s’écoute comme un secret douloureux.

Les paroles sortent des tripes du chanteur, elles sont touchantes et semblent sincères. On y parle avec talent d’amour bien sûr comme dans « Anna Begins », mais aussi de souvenirs, du temps qui passe, du fait de se sentir seul, même au milieu d’une foule.

L’univers musicale du groupe oscille entre plusieurs genres et avec de multiples influences, tantôt country sur le 1er album « August and Everything After », enchaînant sur du rock alternatif pour le second album « Recovering the Satellites », puis vers plus de folk sur « This Desert Life », et enfin vers une tendance pop sur « Hard Candy ».

Ce qui différencie ce groupe de la plupart des artistes mainstream, ce sont leurs performances lives et celles de Adam Duritz en particulier, qui ont acquis une renommée pour la nature énergique et passionnée de leurs concerts.

Duritz s’étend fréquemment et réécrit les chansons en live, en ajoutant des versets supplémentaires ou des sections intermédiaires en remplacement.

Il utilise parfois les paroles d’autres artistes en pleine improvisation, tels que Bruce Springsteen, Van Morrison,  Bob Dylan et d’autres groupes de San Francisco comme Sordid Humor.

Aucune chanson en live ne ressemble à celles d’un autre concert.

Le groupe s’est également fait connaître pour ses performances acoustiques et électriques notamment enregistrés sur un bouleversant double CD live « Across a Wire : Live in New York City ».

Dans le premier set enregistré pour VH1 Storytellers, le groupe a décidé pour l’occasion qu’ils n’interpréteraient des chansons uniquement pour lesquelles ils pourraient proposer des arrangements acoustiques complètement différents.

Depuis, ils ont effectué des variations de ces arrangements acoustiques à un certain nombre de concerts, souvent en ouverture avant de se lancer dans un ensemble électrique.

En témoigne le second set énergique enregistré pour le MTV 10 Spot.

Toute la richesse de ces lives performances en font un groupe à part, avec une communauté très active de collectionneurs de concerts pirates et autres bootlegs.

(Un bootleg est un disque qui contient l’enregistrement d’un concert fait depuis le public par un spectateur et cela sans aucune autorisation.)

Le groupe encourage activement l’enregistrement de ses concerts et le partage de ces enregistrements bootlegs qui en résultent.

A l’ère d’internet, le groupe est résolument moderne et en phase avec son temps, désormais ils sont séparés de leur label et s’autoproduisent sur les plateformes digitales et aux vues de leur présence sur les reseaux sociaux ils ont tout compris de l’importance de la relation entre les artistes et leurs fans.

Radical Face

Radical Face est un de mes coups de coeurs musicaux, alors depuis le temps que j’en en parle autour de moi je me suis dit qu’il serait temps d’écrire un article sur mon blog un peu laissé à l’abandon.

Le pseudonyme Radical Face est un projet musical de Ben Cooper, un auteur/compositeur originaire de Floride.

Il constitue également la moitié de Electric President et Iron Orchestra, ainsi qu’un tiers de Mother’s Basement. Il est également membre de Unkle Stiltskin.

Le projet, précédemment intitulé « Radical Face Versus Phalex Sledgehammer »  a été trouvé par Cooper sur un prospectus déchiré, un dépliant de chirurgie esthétique intitulé « Radical Face-Lift » dont le mot « lift » était arraché.

Ghost, sorti en mars 2007, est un album concept basé sur l’idée de maisons retenant des évènements ayant eu lieu dans chacune d’elles.

Chaque chanson est une histoire dont quelques-unes sont racontées du point de vue de la maison. Cooper a cité une vieille maison qu’il habitait comme l’une de ses inspirations.

L’album a été comparé à des travaux issus de The Mountain Goats, Sufjan Stevens, The Postal Service, Gorky’s Zygotic Mynci, Paul Simon et Animal Collective.

La chanson « Welcome Home, Son » est devenue très populaire depuis son utilisation dans une publicité Nikon,  le single est également utilisé dans le film Humboldt County et au moment du climax émotionnel du film The Vicious Kind.

En novembre 2010, il sort un EP, « Touch The Sky », une amorce à sa trilogie d’albums intitulé « Family Tree » .

Le premier album de cette trilogie, « The Roots »  est sorti en 2011, il sera suivit de « The Branches » et « The Leaves ».

En bonus : Haunted.

Truth Is

Le nouvel album world/folk de mon amie Sophie Moleta (Satya) vient de sortir en collaboration avec les artistes Kadambii Barnao et Melanie Robinson.

« Three women creating passionate vocal and instrumental atmospheric and inspirational world music through a weaving of voice, guitar, piano, cello and other world instruments. »

Pour rappel mon article sur la chanteuse Sophie Moleta, une artiste à fleur de peau qui vous bouleverse avec sa musique.

Vous pouvez écouter l’album Truth Is gratuitement sur Spotify mais aussi iTunes/Amazon sous le nom du trio SatyaKadambiiMela.

M83

M83 est un groupe de musique électronique français.

Fondé en 1999 et originaire d’Antibes, il est composé à l’origine de Anthony Gonzalez et Nicolas Fromageau.

Leur nom provient de la galaxie M83, qui suggère l’immensité spatiale qu’ils tentent de suggérer à leur musique.  Et à l’instar de la scène électro française ils deviennent rapidement très populaire aux États-Unis.

Au printemps 2001, M83 enregistre un premier album éponyme.

Ils rencontrent un succès critique international avec leur deuxième album intitulé Dead Cities, Red Seas & Lost Ghosts, sorti au printemps 2003.

À l’issue de leur tournée mondiale qui accompagne la sortie de l’album, Nicolas Fromageau quitte le groupe.

Anthony Gonzalez retourne en studio pour enregistrer le troisième album intitulé Before the Dawn Heals Us, sorti en janvier 2005.

La même année, M83 réalise un remix des titres Protège-Moi de Placebo, Black Cherry de Goldfrapp et Suffer Well de Depeche Mode .

En 2006, après la tournée aux États-Unis pour la sortie de Before the Dawn Heals Us, Anthony Gonzalez enregistre une collection de titres dans une veine plus Ambient.

Le cinquième album, Saturdays = Youth sort en avril 2008. La tonalité de l’album est clairement influencée par les années 1980. Le titre We Own The Sky sera choisi pour ouvrir le film de snowboard That’s It That’s All.

En 2008 et 2009, M83 fait une tournée mondiale, les conduisant à assurer les premières parties de groupes tels que les Kings of Leon pour leur tournée britannique, The Killers pour leur tournée aux Etats-Unis et Depeche Mode pour leur tournée en Italie, Allemagne et France.

Le virage américain de M83 est confirmé en janvier 2010 par le déménagement d’Anthony Gonzalez à Los Angeles. Certaines chansons du groupe sont choisies pour intégrer la bande originale du film L’Autre Monde.

Pour ma part, j’ai découvert ce groupe avec leur dernier album Hurry Up We’re Dreaming sorti en 2011.

Dès l’écoute des morceaux Réunion, Midnight City et Wait j’ai été conquis. Un vrai coup de coeur à l’écoute de l’album.

On pense beaucoup à la musique de MGMT et The Naked and Famous,  ainsi qu’aux balades mélancoliques de Mogwai et Band of Horses.

A grands renforts de synthés, ils nous embarquent à bord de leur soucoupe volante, pour un voyage intersidéral dans lequel nous traversons une musique cosmique avec une multitude d’étoiles mélodiques.

En bonus : Une ballade enivrante  Wait.

Gail Ann Dorsey

Gail Ann Dorsey, née le 20 novembre 1962 à Philadelphie est une artiste de rock américaine. Musicienne de studio confirmée, c’est notamment sa présence dans le groupe de David Bowie qui l’a révélée au grand public.

Le parcours de Gail Ann Dorsey dans l’univers de la musique débute précocément. Dès l’adolescence, elle chante et s’initie à différents instruments : guitare, basse, clarinette et batterie.

Elle commence aussi à écrire ses propres compositions musicales, et va même jusqu’à rédiger des scénarios de longs métrages pour illustrer certaines d’entre elles. Car en plus d’être passionnée pour l’écriture, cette musicienne autodidacte est aussi une fervente cinéphile.

En 1980, Gail traverse les États-Unis pour aller étudier le cinéma au California Institute of the Arts. Mais après trois semestres d’études, elle réalise que le milieu du septième art n’est pas celui où elle pourra s’épanouir.

Ayant pris conscience qu’elle possède les talents nécessaires pour réussir une carrière dans la musique, Gail retourne sur la côte est en 1982 et séjourne à New York pendant une année, vraisemblablement infructueuse.

C’est à Londres, où elle s’installe au cours de l’été 1983, que ses projets vont commencer à prendre forme. Elle décroche une place de choriste dans le big band de Charlie Watts et collabore avec d’autres artistes comme Boy George, Concrete Blonde ou Ann Pigalle.

Gail signe chez WEA en 1987. L’année suivante sort son premier album, The Corporate World, sur lequel apparaissent plusieurs musiciens renommés : Eric Clapton, Anne Dudley, Andy Gill et Steve Ferrone. En outre, le disque est produit par le célèbre bassiste Nathan East.

Elle continue de collaborer avec plusieurs artistes et participa notamment à la tournée Black & White America de Lenny Kravitz.

On la retrouve en tant que bassiste sur la tournée A Reality Tour de David Bowie et en particulier en duo avec lui sur la reprise de Under Pressure (Queen & Bowie).

Je crois que c’est la plus belle reprise de cette chanson que j’ai entendu depuis l’hommage de David Bowie et Annie Lenox à Wembley pour le Tribute à Freddie Mercury en 1992.

Le dernier album de Gail Ann Dorsey « I Used To Be… » est disponible en écoute gratuitement sur son site il est vraiment très bon et je vous le conseille si vous aimez son jeu de basse et sa voix unique.

Un nouveau travail, un nouveau départ, une nouvelle vie !

J’ai le plaisir de vous annoncer que ma candidature a été retenue et que je suis officiellement embauché comme Directeur Adjoint, Coordinateur du Jeune Public et des Relations Publiques pour le cinéma Le Palace à Épernay.

Une ville de 30 000 habitants en Champagne-Ardenne, dans le seul cinéma de la ville qui possède 6 salles et 1082 places.

Dans un 1er temps cela va être difficile avec 4h de transports par jour (1h30 de train + 30 min de metro aller et retour).

Je vais commencer à chercher un appart sur place et déménager en province dans une région que je ne connais pas du tout et où je ne connais personne.

Pour le moment, le temps n’est pas très avenant puisqu’il pleut et il fait froid dans cette campagne, étant un citadin je risque d’être un peu seul au début.

Mais j’ai une opportunité extraordinaire que je ne pouvais pas laisser passer et je vais tellement m’éclater dans ce boulot que je n’aurais pas beaucoup le temps de m’ennuyer !

Et fort heureusement ils ont quand même internet à la campagne me voila sauvé ;)

Bref, tout ca c’est aussi une bonne excuse pour rappeler la jolie fille dont j’ai eu le numéro vendredi en sortant de mon entretien à Épernay. \o/

Mon avis sur la beta de Star Wars The Old Republic

Pour l’instant, je dirais qu’il y a du bon et du moins bon mais j’ai apprécié ce long weekend de beta test.

D’un point de vue technique, le jeu est fluide sur ma config avec tout en élevé et les options à fond entre 70 et 110 fps selon la zone.

Pas eu un seul plantage ou deco ni aucun freeze ou lag de ce point de vu c’est un bon point le jeu est stable techniquement.

Après graphiquement, pour un jeu de 2011 ils auraient pu faire mieux mais ca reste potable mais parfois ca pique vraiment les yeux quand il y a des textures de mauvaises qualités surtout quand tu as l’habitude de jouer à des MMO en DX10 et DX11 comme Age of Conan et Lord of The Ring et la différence n’est pas à l’avantage de SWTOR.

Je ne trouve pas le jeu moche mais je ne suis vraiment pas fan des graphismes cartoons et j’ai toujours trouver ce style rédhibitoire dans tous les jeux mais avec le temps je me suis habitué finalement on s’y fait et ca m’est arrivé de trouver le jeu beau.

Au niveau des classes, j’ai eu l’occasion de tester un Chevalier Jedi Sentinelle jusqu’au niveau 11 pour ne pas me spoiler trop l’histoire jusqu’à Coruscant et j’ai trouvé l’histoire de bonne tenue.

De même pour le Jedi Consulaire, le scénario est différent et tant mieux car ces deux classes commencent sur la même planète. Alors c’est chiant de se retaper les quêtes communes et c’est dommage que l’on ai pas plus de choix dans les zones de départ comme par exemple pouvoir choisir une planète différente.

Alors oui le scénario est classique et les quêtes ne sont pas originales, on se retrouvera toujours à basher du mob ce n’est pas Star Wars Galaxies mais le fun est présent alors si c’est divertissant tant mieux pour ma part.

J’ai également tester un peu le Contrebandier, mais la j’ai vraiment trouver la zone de départ à chier, le scénario chiant et pas du tout intéressant et les quêtes emmerdantes, autant le gameplay peu être sympa mais très répétitif surtout à devoir toujours se mettre en couverture on dirait du Gears of War.

Dommage qu’il n’y ai pas plus de contenu et de choix dans la liberté d’aller où l’on veut puisque tous les chemins sont déjà tracés et la progression est linéaire.

Et j’en reviens encore au choix d’être limité seulement aux mêmes zones et mêmes planètes de départ ce qui le différencie encore beaucoup de SWG.

Comme je l’ai dis, je ne suis pas monté très haut pour ne pas tout me spoiler mais il faudra voir à plus haut niveau ce que le jeu à dans le ventre et voir si cela tiens la route sur le long temps surtout le contenu haut level et pvp.

Néanmoins, on sent vraiment qu’il y a une patte Bioware car il y a un scénario, c’est très dialogués et ca tient bien la route mais le vrai reproche que j’aurais à faire au jeu c’est que c’est très solo depuis le début.

Il n’y a pas beaucoup de quêtes de groupes ou instances en groupes, à part une ou deux, et même si on se sent vraiment dans un très bon RPG solo on ne se sent pas du tout dans un MMO puisque en dehors du canal de discussion il n’y a pratiquement aucune interaction sociale.

En fait, j’ai eu l’impression de jouer à Mass Effect 3 avec toutes les qualités d’un RPG de Bioware et oui sur ce point ils ont fait un très bon travail sur la partie solo mais je ne vois pour l’instant pas ce qui mérite d’être appelé MMO et de payer un abonnement.

En résumé, c’est un très bon jeu solo pour le moment mais pas assez de social et pas assez de jeu en groupe mais c’est l’impression que j’ai eu sur les 12 premiers levels et peut être que par la suite les choses changent.

Dans tous les cas, malgré ces défauts cela reste une bonne expérience et j’ai pris du plaisir dans le jeu et c’est le principal. J’ai vraiment envie de voir la suite et de continuer l’histoire et je ne regrette pas ma pré-commande et j’ai hâte d’avoir accès au lancement anticipé.

Après, il faut voir si la suite et le contenu vaut le coup à plus haut niveau parce que si une fois l’histoire de ton personnage solo terminée et que le contenu ne s’adapte pas à un jeu massivement multijoueurs alors les joueurs ne continueront pas après la fin du mois gratuit.

Wait and See.

David Ford

Ma découverte musicale du jour est un songwriter anglais qui se nomme David Ford que j’ai découvert grâce à cette vieille crapule de Jean-Luc .

David Ford a joué dans plusieurs groupes locaux de Eastbourne avant de participer à la formation de Beachy Head qui deviendra par la suite le groupe Easyworld.

En 2004, le groupe se sépare et il commence sa carrière solo par une tournée de concerts plutôt intimistes et sort son 1er album l’année d’après « I Sincerely Apologise For All The Trouble I’ve Caused » (2005) qui contient notamment le premier single et très bonne chanson « State of the Union ».

Il enchaîne alors les tournées en faisant les premières parties de groupes et artistes comme Starsailor, KT Tunstall, Richard Ashcroft, Elvis Costello et surtout accompagne Suzanne Vega sur toute sa tournée au Royaume-Uni. Plutôt pas mal pour lancer sa carrière et se faire un nom dans le milieu.

Par la suite, il sortira deux nouveaux albums « Songs for the Road » (2007) et « Let The Hard Times Roll » (2010) avant d’enregistrer le 13 Mai 2011 son premier album live à New-York City dans la salle Le Poisson Rouge à Manhattan.

Cet album live est sorti début septembre et mixé par les soins de l’ingénieur du son James Brown qui a notamment travaillé sur les albums des Foo Fighters et des Arctic Monkeys.

J’ai un coup de coeur pour l’album New-York City Live alors je vous conseille de l’écouter gratuitement sur Spotify en cliquant sur ce lien avec une mention spéciale à la version de 7 minutes de « State of the Union ».

David Ford a la particularité de jouer quasiment de tous les instruments tout seul sur ses disques et d’utiliser des boucles en live durant les morceaux et pour vous donner un avant-goût de sa musique voici une autre version live.